En 2022, la crise énergétique, l’inflation et les difficultés de recrutement ont frappé de plein fouet les TPE-PME. Tout au long de l’année, la CPME s’est engagée pour défendre et obtenir des mesures fortes pour les TPE/PME. Ainsi, la CPME est fière de vous présenter son rapport d’activité pour l’année 2022.
Nos victoires pour les PME
Afin de freiner les effets de la crise sanitaire, puis de la crise énergétique, la CPME a engagé un dialogue étroit avec les pouvoirs publics. De ce dialogue, la CPME en a obtenu des mesures concrètes pour les PME.
La CPME a notamment obtenu :
- Le renforcement du « bouclier tarifaire » des petites entreprises ainsi que la prolongation de la prise en charge de l’activité partielle.
- La pérennisation de la prime de partage de la valeur défiscalisée et exonérée de charges sociales sous certaines conditions.
- L‘extension du champ d’application de la directive CSRD, grâce à une application des obligations aux entreprises situées dans des pays tiers.
Porter la voix des PME au cœur des élections présidentielles et législatives
L’année 2022 s’est ouverte par les scrutins présidentiel en mai puis législatif, en juin. L’opportunité, pour la CPME, de faire entendre dans le débat des solutions pensées pour les PME et d’interpeller les principaux candidats, tant au plan national, que local.
Les PME face à l’inflation & la crise énergétique
En 2022, l’inflation et la crise énergétique se sont généralisées à l’ensemble du tissu économique. Dans le même temps, des difficultés de recrutement déjà à l’oeuvre ont continué de sévir, rendant l’équation pour les entrepreneurs, complexe.
La CPME s’est engagée dans ce contexte à :
- Agir dès le déclenchement du conflit en Ukraine
- Freiner les effets de l’inflation et de la crise de l’énergie
- En Europe, se mobiliser pour obtenir le découplage gaz-électricité
Endiguer les difficultés de recrutement
La pénurie de main d’oeuvre a massivement frappé les PME de tous les secteurs de l’économie, en 2022. Face à cela, la CPME a défendu trois objectifs :
- Donner du pouvoir d’achat aux salariés
- Réformer les règles de l’assurance-chômage
- Faire évoluer la formation pour l’adapter aux nouveaux enjeux