La QVCT recouvre de nombreuses dimensions, dont le contenu même du travail. Celui-ci se caractérise notamment par les ressources disponibles, les moyens de réalisation, l’autonomie ou encore la répartition de la charge, et tout particulièrement la clarté des consignes de travail.

Mais qu’est-ce que la clarté ? C’est la qualité de ce qui est clair, sans ambiguïté, facile à comprendre.

A contrario, le manque de clarté peut être source de malentendus, d’incompréhensions ou de tensions et avoir pour conséquence des difficultés de recrutement, du désengagement, voire des départs.

L’implicite est un des premiers facteurs du manque de clarté. C’est donc par un exercice continu d’explicitation de ses demandes, des consignes de travail, qu’il est possible de tendre vers un maximum de clarté dans le contenu du travail, au service de la QVCT.

A noter que la clarté n’est pas figée à un instant « T », il faut continuer à la réactualiser.

Nous vous proposons ici un petit quizz pour évaluer votre sensibilité à l’implicite et à l’explicite.

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C’est à vous maintenant ! Reprenez vos derniers échanges avec vos collaborateurs, vos clients, vous fournisseurs, vos partenaires. Avec le recul, vos demandes étaient-elles implicites ou explicites ? Quel était leur niveau de clarté ?

En effet, une bonne communication réside dans la conscience du niveau de clarté apporté dans chaque échange. Pour que votre interlocuteur puisse être en phase avec votre propos il est important de situer celui-ci dans son contexte et de donner les raisons qui vous amènent à votre requête.

Pour qu’une tâche soit menée à bien, les circonstances dans lesquelles s’insèrent votre demande doivent être connues (échéance, moyens…).

Afin de le guider vous pouvez lui suggérer quelques méthodes ou bonnes pratiques précédemment observées.

Pour finir, il est primordial de communiquer en tenant compte de la sensibilité de votre interlocuteur.

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